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Neuromarketing : Sept, le nombre magique

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Voici des éléments scientifiques qui pourraient vous aider à expliquer à vos clients pourquoi limiter le nombre d’informations dans un message dans le but de le rendre plus efficace.

Les travaux de George A. Miller publiés dès 1956 dans un article scientifique resté célèbre, The Magical Number Seven, Plus or Minus Two[1] (Sept, le nombre magique plus ou moins deux), établit que le nombre sept correspond approximativement au nombre maximal d’éléments qu’est capable de traiter l’esprit humain.

Les expériences rapportées par Miller concernent par exemple le nombre de stimuli (sons, objets visuels) qu’on est capable de percevoir simultanément, ou encore le nombre d’éléments qu’on est capable de mémoriser à court-terme (aussi appelé empan mnésique) , qu’il s’agisse d’une série de mots, de lettres, ou de nombres.

Miller ne se prononce pas sur l’origine de cette limitation et pourquoi elle est égale à 7 unités pour de nombreux processus psychologiques, d’après lui cela pourrait n’être qu’une « coïncidence Pythagoricienne« .

Sources : Wikipedia et http://psychclassics.yorku.ca/Miller/